Lagaab a exprimé son soutien à l’idée de créer une plateforme de réseaux sociaux algérienne et a souligné que cette initiative n’était pas seulement une préoccupation des députés, mais également une priorité pour la direction supérieure du pays. Il a expliqué que le Président de la République avait donné des directives pour avancer dans cette direction.

Le ministre a souligné qu’il existe de nombreux pays ayant leurs propres plateformes de réseaux sociaux, et il a posé la question : pourquoi les Algériens ne pourraient-ils pas avoir leur propre plateforme de réseaux sociaux ?

La création d’une plateforme de réseaux sociaux locale pourrait stimuler la communication au sein de la société algérienne et promouvoir la culture et les valeurs du pays à l’échelle mondiale.

De plus, le ministre de la Communication, Mohamed Laagab, a expliqué que le projet de loi relatif à la presse écrite et électronique visait principalement à promouvoir la performance des médias nationaux. Il a souligné que l’objectif principal de ce projet était d’organiser le secteur et d’améliorer la performance des médias nationaux.

Le Ministre de la Communication, Mohammed Lagaab, a confirmé l’intérêt au plus haut niveau des autorités algériennes pour le lancement d’une plateforme locale de réseaux sociaux, lors de sa déclaration devant les députés de l’Assemblée Populaire Nationale (APN).

En effet, répondant hier, aux préoccupations des députés de l’Assemblée Populaire Nationale concernant le projet de loi sur la presse écrite et électronique, Lagaab a exprimé son soutien à l’idée de créer une plateforme algérienne de réseaux sociaux.

Le Ministre a rassuré les députés en soulignant que cette initiative n’était pas uniquement une préoccupation de leur part, mais également une priorité pour la direction supérieure du pays. Il a expliqué que le Président de la République accordait une attention particulière à cette question et avait donné des directives pour avancer dans cette direction.

Le ministre de la Communication, Mohamed Laagab, a confirmé avant hier, l’intérêt au plus haut niveau des autorités algériennes pour le lancement d’une plateforme locale de réseaux sociaux, lors de sa déclaration devant les députés de l’Assemblée nationale. Répondant aux préoccupations des députés concernant le projet de loi sur la presse écrite et électronique, Laagab a exprimé son soutien à l’idée de créer une plateforme algérienne de réseaux sociaux. Le ministre a rassuré les députés en soulignant que cette initiative n’était pas uniquement une préoccupation de leur part, mais également une priorité pour les plus hautes autorités du pays. Il a expliqué que le Président de la République accordait une attention particulière à cette question et avait donné des directives pour avancer dans cette direction. Laagab  a souligné qu’il existait de nombreux pays qui possédaient leurs propres plateformes de réseaux sociaux et a posé la question : pourquoi les Algériens ne pourraient-ils pas avoir leur propre plateforme de réseaux sociaux ? La création d’une plateforme de réseaux sociaux locale pourrait constituer un moyen de stimuler la communication au sein de la société algérienne, ainsi qu’un moyen de promouvoir la culture et les valeurs du pays à l’échelle mondiale. Cela permettra aux utilisateurs de publier des images, des photos, des vidéos, des fichiers et documents, d’échanger des messages, rejoindre et créer des groupes et d’utiliser une variété d’applications sur une variété d’appareils. Certains y trouvent de la chaleur humaine, d’autres y cultivent des amitiés. Ces réseaux permettent également de faire un appel à tous afin d’obtenir de l’aide dans certaines circonstances et même d’y trouver un emploi. Ce site a aussi des objectifs humanitaires. C’est ainsi qu’à l’occasion de chaque événement dramatique en Algérie tels les incendies, les intempéries ou les tremblements de terre ou d’autres catastrophes naturelles, les Algériens peuvent ainsi se montrer solidaires et partager les joies et les peines. Cette initiative nationale peut rendre d’énormes services aussi à la communauté nationale établie à l’étranger qui peut via ce biais communiquer aisément avec les membres de la famille restés en Algérie. Les nostalgiques seront eux aussi les grands bénéficiaires de cette application made in Algérie puisqu’ils pourront à l’envi regarder voire admirer et commenter les images ou les photos du pays depuis l’indépendance jusqu’à aujourd’hui, une sorte de radioscopie du pays en instantanée voire en un seul clic.  Avec cet élan vers l’autonomie numérique, l’Algérie suit les pas d’autres nations qui ont déjà franchi le cap vers l’indépendance digitale. Cette démarche audacieuse place de ce fait l’Algérie au cœur des discussions sur la souveraineté numérique. La mise en place d’une plateforme de réseaux sociaux nationale et la réforme de la législation sur la presse sont des pas en avant significatifs